Le matin trouva Lauriana recroquevillée près des braises presque éteintes, encore enveloppée dans la thermométrie ténue d’un bouquet mourant. Elle se redressa mollement, chassant de ses paupières la agitation nocturne et caressa d’un acte protecteur la couverture du apporte ancien qu’elle avait glissé marqué par sa bouille pour la nuit. https://eduardohszeg.oblogation.com/32325776/lauriana-voyance