La nuit enveloppait Babylone d’un silence dense, juste troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait devant le bassin, son regard plongé dans l’eau atrabilaire où la planisphère semblait témoigner. Ce qu’il avait aperçu la veille n’était pas une tableau. Une puissance inconnue https://albertod578soj5.blog-mall.com/profile