Callista resta de longues heures à cheviller l’horizon, à l’affût du moindre frémissement un certain remous ou d’un écho lointain qui lui apporterait un contact. Pourtant, la mer demeurait ranch, silencieuse de façon identique à un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait trépassé, et avec lui, la seule https://jolie-voyance26913.thelateblog.com/34346314/la-documentation-des-marées