L’aube se levait sur Pékin, baignant l’atelier du calligraphe d’une date pâle. Les obscurcissements de la nuit s’effaçaient soupçon à larme, mais sur le carton de riz, d’autres obscurcissements persistaient. Comme chaque matin, il se dirigea métrique son bureau, le cœur serré par l’anticipation. Il savait que de futurs vers https://elliottqfmsw.idblogmaker.com/33045978/l-encre-des-astres