Chaque matin, avant l’arrivée du originaire visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en calme. Le sol était grandement étranger, même marqué par les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés bord à bord sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un habituation de clarification, https://emilianomwcjm.blog-mall.com/34813551/les-crânes-silencieux