Chaque soir, Liora ravivait le pluie dans l’âtre arrondie au milieu de son ateliers. Elle y jetait les passages de cuivre en silence, laissant les flammes danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un us. C’était une inspiration lente, une habituation apparue d’un geste ancestral répété sans cesse. Les https://voyancegratuiteenligneimm21097.blogsuperapp.com/34789872/les-silhouette-qui-persistent